L’excellence très saluée des versions papier et numérique de L’herbier des fées par Benjamin Lacombe et Sébastien Perez (Albin Michel, 2011) clôture les anciens débats sur la prétendue mort du livre pour ouvrir un nouvel épisode de la création littéraire : celui où l’album se convainc sereinement de ses propres forces en se mesurant – concurrence et/ou collaboration – au monde numérique. (Parmi […]Continuer à lire